A Nouméa, Violette et sa famille ont quitté leur logement social pour venir vivre au squat de Tina, dans des conditions très précaires mais ils sont beaucoup plus heureux comme ça car ils préfèrent la vie en communauté.  Près de 300 personnes vivent dans ce squat de Tina, en périphérie de Nouméa, dans des conditions très précaires. Alors que 70.000 logements seraient potentiellement indignes en France selon l’Agence Nationale de l’Habitat, Violette a fait ce choix de revenir vivre dans ce squat car elle y apprécie la vie communautaire. « Je suis sortie de la ville pour revenir ici au squat parce que c’est ma culture à moi », raconte-t-elle. Si vous voulez en savoir plus sur le sujet du mal-logement, regardez en replay notre émission consacrée à la lutte contre les logements insalubres en Outre-mer.